5 février 2020
Le Réseau rural français a tenu son assemblée générale nationale le 21 janvier à Paris en présence des trois copilotes, le ministère de l’Agriculture et de l’alimentation, l'Agence nationale de cohésion des territoires et Régions de France. Les perspectives communautaires post-2020 laissent entrevoir une transition à initier pour le Réseau rural français.

Le Réseau rural français a tenu son assemblée générale nationale le 21 janvier à Paris en présence des trois copilotes, le ministère de l’Agriculture et de l’alimentation, le CGET devenu Agence nationale de cohésion des territoires depuis le 1er janvier dernier et Régions de France.

Le coordinateur du projet Port@il y a participé, à l’instar de plusieurs projets MCDR représentés. La matinée a été consacrée au compte-rendu des activités réalisées en 2019 autant au niveau national qu’au niveau communautaire. Des participants ont interpellé les pilotes sur les articulations à trouver entre les travaux du Réseau rural et une actualité 2019 particulièrement riche et intense après la crise des gilets jaunes avec la mise en place d’un Agenda rural, la création du Parlement rural. L’après-midi a porté sur les perspectives communautaires d’après 2020, certainement une année 2021 de transition, et la future PAC. L’avenir du Réseau rural n’est pas assuré, au moins dans sa forme actuelle.

Moins rural, plus agricole, un réseau PAC devrait néanmoins exister. A l’occasion de plusieurs ateliers, les participants, en particulier les porteurs de projet MCDR, ont exprimé fortement leur souhait que les réseaux d’acteurs créés et des projets contribuant au développement rural persistent et continuent à bénéficier du FEADER, dans la continuité du Réseau rural des deux dernières programmations 2007-2013 et 2014-2020.